Le couturier Karl Lagerfeld est soupçonné d’avoir dissimulé plus de 20 millions d’euros (environ 30 millions canadiens) au fisc français, par le biais de montages financiers complexes entre plusieurs sociétés, assure mercredi l’hebdomadaire L’Express.
Contacté par l’AFP, le ministère des Finances n’a pas souhaité confirmer cette information, invoquant le « secret fiscal ». Le porte-parole de Karl Lagerfeld, également sollicité, n’a pas souhaité non plus faire de commentaire.
D’après L’Express, le directeur artistique de la maison Chanel aurait dissimulé ces sommes grâce à des montages financiers passant par la France, mais aussi l’Irlande, les Iles Vierges britanniques ou les États-Unis.
Les services des impôts « soupçonnent qu’en l’espace de six ans, l’homme aux inamovibles lunettes noires aurait omis de déclarer dans l’Hexagone plus de 20 millions d’euros », écrit l’hebdomadaire.
Une enquête aurait ainsi été ouverte, marquée par une perquisition en 2013, portant notamment sur l’activité de la librairie 7L, créée par Karl Lagerfeld dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris, en déficit de 6,6 millions d’euros (environ 10 millions canadiens), et qui ne paie donc pas d’impôts.
Selon L’Express, cette librairie abrite un studio photo détenu par une société basée au Royaume-Uni, Studio 7L, qui encaisse les prestations de photographe du couturier.
« Le fisc considère que la maison-mère britannique, ainsi qu’une seconde basée en Irlande », mais détenue par une société des iles Vierges, « ont permis d’occulter l’activité professionnelle réelle et non déclarée » du photographe, écrit l’hebdomadaire.
Les services de Bercy, d’après le magazine, s’intéresseraient par ailleurs aux activités de deux sociétés civiles immobilières et à un redressement fiscal « très allégé » dont a bénéficié le couturier à la fin des années 1990.
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Contacté par l’AFP, le ministère des Finances n’a pas souhaité confirmer cette information, invoquant le « secret fiscal ». Le porte-parole de Karl Lagerfeld, également sollicité, n’a pas souhaité non plus faire de commentaire.
D’après L’Express, le directeur artistique de la maison Chanel aurait dissimulé ces sommes grâce à des montages financiers passant par la France, mais aussi l’Irlande, les Iles Vierges britanniques ou les États-Unis.
Les services des impôts « soupçonnent qu’en l’espace de six ans, l’homme aux inamovibles lunettes noires aurait omis de déclarer dans l’Hexagone plus de 20 millions d’euros », écrit l’hebdomadaire.
Une enquête aurait ainsi été ouverte, marquée par une perquisition en 2013, portant notamment sur l’activité de la librairie 7L, créée par Karl Lagerfeld dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris, en déficit de 6,6 millions d’euros (environ 10 millions canadiens), et qui ne paie donc pas d’impôts.
Selon L’Express, cette librairie abrite un studio photo détenu par une société basée au Royaume-Uni, Studio 7L, qui encaisse les prestations de photographe du couturier.
« Le fisc considère que la maison-mère britannique, ainsi qu’une seconde basée en Irlande », mais détenue par une société des iles Vierges, « ont permis d’occulter l’activité professionnelle réelle et non déclarée » du photographe, écrit l’hebdomadaire.
Les services de Bercy, d’après le magazine, s’intéresseraient par ailleurs aux activités de deux sociétés civiles immobilières et à un redressement fiscal « très allégé » dont a bénéficié le couturier à la fin des années 1990.
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