Curvy Kate a gagné sa bataille contre Facebook pour prouver que leur ligne de lingerie inclusive – qui met en vedette des mannequins taille plus et transgenre – ne fait pas la promotion d’ « actes sexuels ».
![lingerie]()
Les publicités de la marque ont été retirées par le site de médias sociaux pour violation de sa politique de publicité qui soutient que Facebook n’approuve pas « les publicités qui font la promotion d’actes sexuels, de vidéos sexuelles et de publications sexuelles, de club de danseuses ou de spectacles pour adultes ».
Facebook a aussi soutenu que « les publicités comme celles-là sont naturellement sensibles et évoquent une réaction négative de la part des consommateurs ».
![curvy kate]()
Les images faisaient partie de la campagne Scantilly de Curvy Kate, une campagne diversifiée comme on en voit peu.
Tannée des photos retouchées et de la beauté inatteignable, Curvy Kate voulait que les femmes voient son produit sur un corps auquel elles peuvent s’identifier.
Au lieu de mannequins, la marque a choisi huit femmes puissantes qui défient les « normes de la société ».
Après avoir fait appel de la décision de Facebook, sans obtenir de réponse, la marque a demandé aux fans de se rassembler en soutien.
![curvy kate]()
« Ces images ne font pas de mal, mais célèbrent un message de diversité, de force et de beauté », a écrit Curvy Kate dans un billet de blogue.
Facebook a finalement décidé de permettre les publications et s’est excusé dans un communiqué officiel.
« Notre équipe voit des millions d’images publicitaires par semaine et dans quelques cas, elle se trompe dans les interdictions », a soutenu un porte-parole pour Facebook en entrevue avec nos collègues du Huffpost britannique.
« Cette image ne viole pas nos politiques. Nous nous excusons pour l’erreur et avons averti le publicitaire que l’on approuvait sa campagne. »
Ce billet initialement publié sur le Huffington Post Royaume-Uni a été traduit de l’anglais.
Les publicités de la marque ont été retirées par le site de médias sociaux pour violation de sa politique de publicité qui soutient que Facebook n’approuve pas « les publicités qui font la promotion d’actes sexuels, de vidéos sexuelles et de publications sexuelles, de club de danseuses ou de spectacles pour adultes ».
Facebook a aussi soutenu que « les publicités comme celles-là sont naturellement sensibles et évoquent une réaction négative de la part des consommateurs ».
Les images faisaient partie de la campagne Scantilly de Curvy Kate, une campagne diversifiée comme on en voit peu.
Tannée des photos retouchées et de la beauté inatteignable, Curvy Kate voulait que les femmes voient son produit sur un corps auquel elles peuvent s’identifier.
Au lieu de mannequins, la marque a choisi huit femmes puissantes qui défient les « normes de la société ».
Après avoir fait appel de la décision de Facebook, sans obtenir de réponse, la marque a demandé aux fans de se rassembler en soutien.
« Ces images ne font pas de mal, mais célèbrent un message de diversité, de force et de beauté », a écrit Curvy Kate dans un billet de blogue.
Facebook a finalement décidé de permettre les publications et s’est excusé dans un communiqué officiel.
« Notre équipe voit des millions d’images publicitaires par semaine et dans quelques cas, elle se trompe dans les interdictions », a soutenu un porte-parole pour Facebook en entrevue avec nos collègues du Huffpost britannique.
« Cette image ne viole pas nos politiques. Nous nous excusons pour l’erreur et avons averti le publicitaire que l’on approuvait sa campagne. »
Ce billet initialement publié sur le Huffington Post Royaume-Uni a été traduit de l’anglais.
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