Instagram pensait-il faire taire les utilisateurs du mot-clic #curvy en interdisant sa recherche sur le réseau social? Eh bien, c’est raté!
En moins de deux, les activistes pour la diversité corporelle ont trouvé des moyens de contourner l’interdiction en rivalisant d’originalité pour trouver des mots-clics plus uniques les uns que les autres.
#Effyourbeautystandards et #everybodyisbeautiful, des mots-clics déjà populaires sur Instagram ont explosé à la suite de l’interdiction de #curvy. En guise de protestation, le mot-clic #curvee, dont la prononciation à haute voix est pareille à celle de #curvy, est né. Des milliers d’enthousiastes ont publié leurs photos sous ce nouveau mot-clic, dont le but est de défier Instagram.
L’interdiction du #curvy a été justifiée par Instagram sous le prétexte que les photos associées au mot-clic ramenaient souvent à du contenu qui violait la politique de non-nudité du réseau social. #Hookers (prostituées), #Fetishes (fétiches) et #Thin (mince), par exemple, sont encore permis par Instagram, ce qui laisse croire à plusieurs que la politique d’interdiction ou de permission du réseau semble être largement aléatoire. Il y a fort à parier que ce n'est pas la dernière fois que l'on entend parler de cette controverse.
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En moins de deux, les activistes pour la diversité corporelle ont trouvé des moyens de contourner l’interdiction en rivalisant d’originalité pour trouver des mots-clics plus uniques les uns que les autres.
#Effyourbeautystandards et #everybodyisbeautiful, des mots-clics déjà populaires sur Instagram ont explosé à la suite de l’interdiction de #curvy. En guise de protestation, le mot-clic #curvee, dont la prononciation à haute voix est pareille à celle de #curvy, est né. Des milliers d’enthousiastes ont publié leurs photos sous ce nouveau mot-clic, dont le but est de défier Instagram.
L’interdiction du #curvy a été justifiée par Instagram sous le prétexte que les photos associées au mot-clic ramenaient souvent à du contenu qui violait la politique de non-nudité du réseau social. #Hookers (prostituées), #Fetishes (fétiches) et #Thin (mince), par exemple, sont encore permis par Instagram, ce qui laisse croire à plusieurs que la politique d’interdiction ou de permission du réseau semble être largement aléatoire. Il y a fort à parier que ce n'est pas la dernière fois que l'on entend parler de cette controverse.
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