Pendant une période de six mois en 2004, la Montréalaise Rachel Blais a travaillé illégalement aux États-Unis pour l'agence de mannequins de Donald Trump, qui était au courant de sa situation. Mais elle hésite à utiliser le mot « hypocrite », ne le trouvant pas assez fort pour décrire celui qui a fait de la lutte contre l'immigration illégale son principal cheval de bataille en tant que candidat à la Maison-Blanche.
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