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Pénis, vagin, fellation... Un cours d'éducation sexuelle à l'école, ça ressemblerait à quoi?

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Je pense à ça, parce qu'il y a des gens qui ont peur que ça dérange le développement de leur enfant. D'abord, sachez que tel cours se donne en centre jeunesse, ouais, c'est moi qui le donne!

On parle d'anatomie, de relation, de contraception, de consentement, de réseaux sociaux, d'avortement, d'abus. Et vous savez quoi? Les jeunes aiment ça. Ils s'expriment librement, posent des questions aisément, se confrontent aux autres, se rassurent. Quand une nouvelle arrive, elle s'intègre sans trop de timidité parce que déjà elle sait que l'ambiance est cool, que les activités représentent sa réalité.

Ben oui on parle de vagin, de pénis, de fellation, on rit aussi quand vient le temps d'associer le bon terme à la bonne partie de l'anatomie.

On échange sur les expériences, on clarifie nos limites, on précise nos valeurs sexuelles. Dites-moi que vous avez déjà parlé de tout ça avec votre ado en exploration. On enseigne même comment bien mettre un condom, c'est important si vous ne voulez pas vous retrouver grand-mère avant 45 ans. Un petit bébé conçu on ne sait pas trop avec qui, ni quand ni où, pourquoi pas..

Ça prend ça, je vous le dis, c'est aussi essentiel qu'une notion de géographie. Vous ne pouvez même pas imaginer tout ce qu'ils ont déjà essayé, vous ne savez pas à quel point ils ne différencient en rien le mythe de la réalité. À l'heure où on banalise les relations anales, les partenaires multiples, l'heure où on valorise les gangbangs, l'heure des vidéos... Vous savez ces vidéos qui ne s'effacent pas du web une fois publiées et qui se propagent à la vitesse de l'herpès. Parlons-en donc de cette belle infection. Vous savez que vos jeunes ne savent pas que ça ne se guérit pas et que ça se transmet au bébé 15 ans plus tard quand vient le temps d'un accouchement. De beaux souvenirs de jeunesse qui peuvent être évités avec un peu d'info sagement distribuée. Entre ça et savoir situer le Népal sur la carte du monde... me semble que...

Les plus jeunes un peu plus naïves qui cherchent à plaire pour être acceptée, les grandes qui savent tout, qui pensent avoir tout essayé, les gênées, les p'tits Joe connaissants... tout le monde y trouve son compte. Si elles ne veulent pas participer, on leur demande 15 minutes d'essai et après ça elles peuvent partir. Finalement, elles ne partent pas. Elles se normalisent, se confient et quand elles ressortent, c'est plus clair. On parle de lois en lien avec le partage de photos toute nue sans bobette sur internet, on aborde le droit de dire non, le recrutement, le processus de dénonciation.

Plusieurs découvrent la vraie nature d'une agression ou d'une relation abusive, elles ne savent pas trop sinon, elles pensent être obligée, pensent que c'est normal d'avoir mal, de jouer a touche-pipi avec un mononcle ou de se faire menacer. Vous ne savez pas ça parce que votre fille elle ne vous le dira pas. Votre gars non plus s'en vantera pas et le mononcle, oubliez ça.

Je sais que là, il y a des parents qui ne veulent pas. C'est à vous que je m'adresse maintenant. Vos enfants sont curieux, on s'entend, faites comme eux, ouvrez Google et tapez « vagin » et voyez ce qu'ils ont vu. Tapez « pénis » et voyez ce qu'ils ont vu. Pour finir, taper « fellation » même si ça ne vous tente plus. Régalez-vous tout en vous demandant comment vous allez arriver à rectifier tout ça.

L'image qu'ils se font de leur corps et de celui du sexe opposé est déjà détruite avant même que vous réalisiez qu'ils ne sont plus des enfants.

Ils sont déjà complexés de croire qu'ils ont un petit pénis, d'avoir des lèvres asymétriques, ils croulent sous la pression de devoir satisfaire l'autre selon des critères qui sont irréalistes. Peut-être que là, vous n'avez pas envie de continuer à lire à cause des mots qui vous mettent mal à l'aise, vous allez faire comment pour en parler?

Une fille, deux filles, double pénétration, objets sexuels, soumission. Trop de jeunes carburent aux vidéos pornographiques en s'imaginant que c'est la réalité. Et vous, vous craignez qu'une discussion structurée avec des animateurs qualifiés aille venir perturber votre p'tit ninja en rut...

L'apprentissage de la sexualité, c'est la base de ce que votre ado va devenir, de comment il va se satisfaire, se construire, comment il va combler son désir de plaire, comment il va respecter l'autre. Je vous jure que son orientation sexuelle ne sera pas affectée, en fait, toutes les questions qu'il se pose étaient déjà dans sa tête avant même son entrée dans mon local d'activité. Ce n'est pas à cause de moi qu'il devient curieux ou qu'il précise son attirance vers un genre ou l'autre, mais c'est grâce à l'activité qu'il va se normaliser et arrêter de se taper sur la tête en pensant qu'il est détraqué.

Si vous saviez tout ce qu'on entend, tout ce qu'on rectifie, tout ce qu'on enseigne. Ce n'est même pas gênant ou lourd, ce n'est surtout pas dans le jugement. Et les parents, pour vrai, vous nuisez beaucoup à vos enfants en signant des pétitions contre le projet.

C'est sur que c'est important les notions mathématiques, grammaticales et ça aide de savoir l'année qui correspond à Jacques Cartier, mais je vous confirme hors de tout doute que vos enfants vont utiliser beaucoup plus leur anatomie dans leur vie. Commencez donc par vous demander de quelle façon vous allez aborder tout ça. Je vous donne 10 minutes avant que votre enfant foute le camp, mal à l'aise de vous écouter. Allez-y, essayez.

Appelez-le maintenant et dites-lui que vous souhaitez lui parler de quelque chose d'important, dites-lui que ça concerne sa sexualité. Allez-y, pénis, vagin et rendu à fellation, dites-moi qu'il est encore là !

C'est exactement pour ça qu'on veut donner les cours à l'école, on le sait que c'est vraiment ordinaire de parler ouvertement de tout ça avec sa mère ou son père.


La plus grande serre victorienne au monde vient d'ouvrir

Le kimono en quête d'un nouveau souffle au Japon

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A la lueur d'une lampe à incandescence, Yuichi Hirose appose délicatement une teinture bleue sur un fin tissu, dessinant un subtil motif destiné à orner un kimono, ces tuniques traditionnelles japonaises qui cherchent à se réinventer pour survivre.

Dans un atelier centenaire niché dans un paisible quartier de Tokyo, cet artisan de 39 ans répète inlassablement les mêmes gestes, transmis de père en fils. Il représente la quatrième génération de sa famille à perpétuer ce métier, mais doit désormais composer avec une industrie en déclin.

Le marché du kimono est tombé à 278,5 milliards de yens en 2016 (2,1 milliards d'euros), selon une étude de l'institut de recherche Yano, après avoir culminé à 1.800 milliards (près de 14 milliards d'euros) en 1975.

Le kimono, terme qui signifie littéralement "quelque chose à mettre", "est devenu un habit très éloigné de notre vie quotidienne", souligne M. Hirose. Il faut donc "imaginer de nouveaux graphismes", créer de nouvelles occasions, moins formelles, pour le porter, "au concert ou au théâtre" par exemple, dit-il.

De nos jours, il est réservé à des événements importants de la vie, tels que les mariages ou rites traditionnels comme le Jour du passage à l'âge adulte, célébré en janvier par les filles et garçons de 20 ans.

Hors de prix

Et même là, rares sont ceux qui s'offrent ces onéreux ensembles, dont le prix peut atteindre plusieurs milliers d'euros. Beaucoup préfèrent les louer ou les emprunter à des membres de leur famille.

Pour Takatoshi Yajima, vice-président de l'association japonaise de promotion des kimonos, l'industrie doit absolument s'adapter à cette nouvelle donne pour enrayer le recul du chiffre d'affaires.

Les professionnels du secteur "ont continué à vendre leurs produits sans baisser leurs prix", se focalisant sur les modèles sophistiqués en soie, déplore-t-il.

Lui appelle au contraire à mettre en place les conditions "pour que le plus de gens possible puissent acheter des kimonos". A la tête de son entreprise, il a développé des tuniques à des prix plus abordables, dans des matières comme du lin ou du coton, et la recette marche: les kimonos qui coûtent moins de 100.000 yens (770 euros) représentaient en 2016 près de 60% des ventes, contre un quart seulement en 2000.

Au-delà de la question du prix, le défi est de revisiter le kimono, lui donner un coup de jeune, préconise le créateur Jotaro Saito, qui présentait en mars sa collection à la Tokyo Fashion Week. Sur le podium, des kimonos revus "version Heisei", décrit-il en référence à l'ère impériale actuelle.

"Les kimonos ne sont absolument pas dépassés, c'est tout à fait cool et amusant d'en porter", estime le couturier qui n'hésite pas à utiliser des tissus inhabituels comme le denim, le jersey ou la laine.

"Expérience unique"

Pour donner un nouveau souffle à la garde-robe traditionnelle japonaise, Kahori Ochi a trouvé une autre solution: proposer un service de location destiné aux touristes, un créneau en plein essor pour des visiteurs de plus en plus nombreux, en quête d'immersion dans la culture de l'archipel.

Cette Japonaise de 42 ans a observé de près la mue du secteur. Ses parents possédaient une boutique de kimonos à Saitama (nord de Tokyo). "Quand j'étais petite, ils étaient sans cesse affairés et nous avions de l'argent. Puis la bulle financière a éclaté et c'est devenu plus difficile", raconte-t-elle.

"Ma mère a alors dû se résoudre à vendre des kimonos d'occasion, sa fierté était blessée. Mais c'était vraiment une bonne décision: nous avons survécu alors que de nombreux magasins ont fermé à l'époque", poursuit Mme Ochi.

Initialement, elle ne se destinait pas à ce métier. "Je trouvais que ce n'était pas tendance et tellement pas pratique", sourit-elle. Car la technique pour arranger les différentes étoffes et nouer la large ceinture appelée "obi" est très complexe, le port serré et inconfortable pour qui n'est pas habitué et la démarche en "zori" (sandales traditionnelles) peu aisée.

Après un voyage en Norvège, où ses sorties en kimono font sensation, elle change d'avis et décide d'épauler sa mère. "Elle était surprise et m'a dit: +Tu n'auras pas de salaire!+", se souvient Kahori Ochi, amusée.

Aujourd'hui, son petit commerce situé dans le quartier branché de Harajuku attire "environ 500 clients par an", qui se parent d'atours nippons pendant quelques heures pour 9.000 yens (68 euros).

"C'est une expérience unique, un pan de la culture japonaise", confie Ruby Francisco, une Néerlandaise de 33 ans ravie de pavoiser en kimono vert pâle sous les cerisiers en fleurs. L'essence même de "l'élégance", selon elle.

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Les Prix Média 2018, le concours qui récompense les meilleures stratégies médias au Québec

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Jeudi 3 mai au soir, au Marché Bonsecours de Montréal, se déroulait la remise des Prix Média 2018, le concours qui récompense les meilleures stratégies médias au Québec. Une soirée Infopresse stylée!

FGL Sports (Sports Experts) et Touché! remportent le Grand Prix Média 2018 !

Le bon coach de FGL Sport (Sports Experts) réalisé par l'agence Touché ! est le grand gagnant de la 17e remise des Prix Média. Le Grand Prix Média lui a été remis pour l'ensemble de la campagne dans la catégorie mix-média de plus de 250 000 dollars.

Pour se positionner comme un bon entraîneur, Sports Experts a choisi de récompenser les usagers du métro de Montréal qui grimperaient les 164 marches de la station Lucien-L'Allier.

Le juryPrix Média 2018 a été présidé par Émilie McAllister, directrice, groupe stratégie, d'OMD Montréal.

Le concours est une initiative d'Infopresse en association avec le Conseil des directeurs médias du Québec (CDMQ), présenté par Pelmorex Corp, en collaboration avec Bell Média, La Presse + et Outfront Média et en partenariat avec Corus et Newad. La campagne du concours a été réalisée par Gauthier.

Pour voir toutes les photos de la soirée dans la galerie ci-dessous

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Le spectaculaire défilé Croisière de Chanel et ses nombreuses stars

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Embarquement immédiat: Karl Lagerfeld a invité au voyage jeudi soir pour le défilé "croisière" de Chanel, en installant une réplique impressionnante d'un paquebot de luxe au Grand Palais à Paris.

Dans ce décor spectaculaire, plus vrai que nature, rien ne manquait: les cheminées fumantes du navire, semblable aux transatlantiques du début du XXe siècle, les amarres, les cris des mouettes, les clapotis des vagues, la corne de brume.

Sous un ciel étoilé évoquant une nuit d'été, des effets de lumière faisaient chatoyer une mer artificielle, pour une illusion parfaite.

Après plusieurs défilés croisière présentés aux quatre coins du monde (Singapour, Dubai, Séoul, La Havane...), Chanel a jeté l'ancre à Paris pour la deuxième année consécutive pour dévoiler cette collection de demi-saison. Les collections croisière étaient à l'origine destinées aux élégantes partant en villégiature.

Sur le "quai" où était amarré le paquebot, baptisé "La Pausa", nom de la propriété de Gabrielle Chanel à Roquebrune-Cap-Martin sur la Côte d'Azur, ont défilé des femmes portant béret, collants blancs et chaussures à bride, à l'allure tantôt rétro, chic ou décontractée.

Dans ce défilé au long cours, des pantalons rayés larges et fluides portés avec des pulls évoquent l'uniforme des marins et l'univers de la navigation, comme les accessoires, minaudières et colliers en forme de bouées, ou canotiers à pompon rouge.

Des robes en PVC côtoient des blousons métallisés. Strass, sequins brillent par touches, sur les épaules, les hanches ou au-dessus de la taille, mais recouvrent parfois entièrement des robes de soirée longues et étroites.

La silhouette est jeune, avec des jeans déchirés, des chaussures sportives, des corsaires. La palette fraîche de la collection, faite de blanc, de bleu vif ou de tons pastel, fait écho à cette atmosphère de vacances.

À l'issue du show, le capitaine du navire, Karl Lagerfeld, est venu saluer sur la passerelle, accompagné pour l'occasion de Virginie Viard, la directrice du studio de Chanel.

La soirée s'est poursuivie à l'intérieur du monumental paquebot, dans un décor immaculé tout aussi spectaculaire, où la croisière a pu s'amuser sur la musique de Sébastien Tellier au piano.

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Les nouveautés alcoolisées que vous voudrez boire cet été

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La saison des terrasses, ça porte à boire. Pour inspirer votre prochain 5à7, on est allé piger dans les nouveaux alcools d'ici. Bière, vin, spiritueux... Quoi de neuf dans nos verres?

Gin tonic prêt-à-boire - Romeo's gin

Pas besoin de se casser la tête pour l'apéro, on opte pour le tout premier gin-tonic québécois prêt-à-boire élaboré par Romeo's gin. C'est frais, juste assez amer et se rapproche sérieusement de la version maison. En bouche, on relève des notes de baie de genièvre, concombre, aneth, lavande, amande et citron, le tout amalgamé à un tonic développé exclusivement pour la recette, à base d'essences naturelles de mandarine et de fleur de sureau.

Disponible en paquet de quatre cannettes de 250 ml à la SAQ - 14,80$.

Midway IPA - Goose Island

Bien houblonnée, mais légère, cette nouvelle bière du brasseur Goose Island coule on ne peut mieux sur le bord du barbecue. Son goût vif et rafraîchissant nous a beaucoup plu. C'est autrement dit la bière parfaite pour ceux qui veulent s'initier aux IPA.

Disponible dans certains marchés IGA et dépanneurs partenaires.

3,20$ pour une canette de 473 ml

Vermouth blanc Rouge gorge - Domaine Lafrance

Vous avez probablement tous entendu parler du divin vermouth Rouge gorge du Domaine Lafrance. Voilà que l'imposant pomiculteur-cidriculteur-distillateur récidive avec une toute nouvelle liqueur amère : un vermouth blanc nommé Rouge gorge blanc. Élaboré à base de cidre, il est plus doux, fruité et légèrement plus sucré que ses populaires compères à base de raisin, mais demeure très herbacé. On l'apprécie autant sur glace que dans un cocktail à l'heure de l'apéro.

Découvrez quelques recettes de cocktails à base du Rouge gorge blanc ici.

21,75$ à la SAQ

Bière Éphémère framboise rhubarbe - Unibroue

Chaque année, Unibroue sort une nouvelle version de sa blanche aux fruits Éphémère. Cette année, c'est le combo fraise-rhubarbe qui a inspiré le brasseur québécois. Pas pour une tarte, mais pour une bière de blé aux fruits de style belge. Le sucre de la fraise ainsi que l'acidité et les notes herbacées de la rhubarbe rendent cette broue explosive de fraîcheur. On la sert ultra froide et on la déguste en plein soleil.

Rosé Bù

On ne peut pas parler d'été sans rosé. Juste à temps pour la belle saison, la sommelière Jessica Harnois lance un tout nouveau cru rosacé : un gris de Grenache rafraîchissant, légèrement acidulé et fruité que vous pourrez empoigner à l'épicerie. Sans être le meilleur dans sa catégorie, il risque de plaire à pas mal tout le monde à l'apéro.

13,35$ à l'épicerie

Le trou noir - BockAle

Pas de trou de mémoire le lendemain avec la toute nouvelle bière sans alcool de la microbrasserie québécoise BockAle. Après le succès de sa IPA sans alcool (qu'on vous vantait ici), elle lance une surprenante stout qui a du goût. On craque pour sa pointe d'amertume, sa robe noire opaque ainsi que ses agréables notes de café, de chocolat, et de noix grillées. On aurait préféré juste un tantinet plus d'effervescence, mais elle reste tout de même très satisfaisante pour une bière à 0,5% d'alcool.

4,49$ pour une canette de 473 ml - (taxes et consigne incluses) dans des points de vente sélectionnés.

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Voici combien de minutes d'activité physique sont nécessaires pour se sentir plus heureux

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Les effets bénéfiques du sport ne sont plus à prouver! Une nouvelle étude a révélé qu'il est possible d'améliorer son humeur avec très peu d'exercice physique.

L'étude, publiée dans le Journal of Happiness Studies, a découvert que la pratique d'une activité physique durant seulement 10 minutes au courant de la semaine peut améliorer considérablement les chances de se sentir heureux. Plus d'exercice n'est évidemment pas nuisible.

Les chercheurs de l'Université du Michigan ont examiné 500 000 personnes ayant participé à 23 études déjà publiées et ont trouvé un lien évident entre l'activité physique et le bonheur.

Le type de sport pratiqué n'influe pas sur l'effet procuré, l'important est d'être actif, selon CBS.

Les personnes pratiquant un sport plusieurs fois par semaine pour une période de 30 minutes ont 30% de chance de se sentir plus heureuses, a rapporté le New York Times.

Les auteurs de l'étude ont mentionné qu'il y a encore des études à faire afin de savoir s'il existe un temps optimal d'activité physique pour être plus heureux.

Si vous êtes stressé, c’est peut-être de la faute à Trump

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Trump a-t-il déjà perturbé votre sommeil ? Si c'est le cas, vous n'êtes pas seul. Une analyse des données d'un petit appareil porté par 11 600 volontaires révèle des corrélations intrigantes.

Et si ça devait se confirmer, ce ne serait pas vraiment une surprise. On sait depuis longtemps que le stress a un impact sur le sommeil, au point de causer des insomnies et de perturber le rythme cardiaque. Mais lier tout cela à des événements précis est difficile : tout au plus peut-on parfois l'associer à un événement difficile dans notre vie personnelle. Mais l'associer à l'actualité nationale ou internationale, c'est une autre paire de manches...

L'appareil en question, testé par la compagnie Nokia, s'apparente à une montre. Il peut recueillir des données allant du rythme cardiaque à la distance marchée dans une journée. Entre autres choses, les chercheurs ont constaté que, entre avril 2016 et avril 2017, la proportion de gens dont les données étaient « désynchronisées » par rapport à la moyenne de la population avait grimpé de 30 % après l'élection de Trump ; le rythme cardiaque moyen était passé de 66 à 70 battements par minute à partir du jour de l'élection ; et dans les jours suivant le référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne — le Brexit — le temps moyen de sommeil chez les volontaires britanniques a décliné de 10 %.

Les chercheurs affirment avoir tenté en vain de trouver d'autres explications, comme des variations saisonnières ou des facteurs environnementaux. Ils pensent que ces données préliminaires mériteraient à présent d'être comparées à des recherches cliniques en cours ou à venir sur des patients tentant de combattre leur stress.

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Top 10 des meilleurs vendeurs à la SAQ

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Les goûts des Québécois changent d'année en année. Si le rouge de Ménage à trois a longtemps trôné au sommet des meilleurs vendeurs de vin, ce sont des blancs qui s'emparent des premières places, dont un de la gamme Bù de la sommelière québécoise Jessica Harnois.

Le Bù Splendido, un assemblage de chardonnay et fiano italien vendu autant en épicerie qu'en SAQ (13,35$), est même au quatrième rang des meilleurs vendeurs toute catégorie à la société d'État.

Le vin rouge californien Red Revolution - le vin le plus populaire depuis deux ans - s'est, lui, moins retrouvé sur les tables des Québécois, passant au 8e rang des meilleurs vendeurs. Le sauvignon blanc de Kim Crawford qui s'était déjà taillé une place enviable au palmarès ces dernières années a pris la tête.

Les données compilées par la SAQ démontrent aussi que les produits québécois ont davantage la cote. Les ventes ont progressé de 8,9% l'an dernier, en majorité à cause des spiritueux - comme le gin Ungava - et les alcools du terroir, incluant la bière. Les cidres d'ici ont cependant fait moins d'adeptes, avec des ventes en baisse de 10%.

Voici le top 10 des meilleurs vendeurs

  • Sauvignon blanc Kim Crawford Marlborough (blanc, 19,90 $)
  • Captain Morgan Original Spiced Rhum (spiritueux, 39,75 $)
  • Baileys Original (spiritueux, 39,75 $)
  • Bù Splendido (blanc, 14,90 $)
  • Smirnoff triple distillation vodka (spiritueux, 34,75 $)
  • Sangiovese/Cabernet-Sauvignon Liano Umberto Cesari Rubicone (rouge, 26,60 $)
  • Wallaroo Train Bin 212 (rouge, 13,70 $)
  • Red Revolution (rouge, 14,10 $)
  • Smoky Bay (rouge, 12,90 $)
  • Wallaroo Trail lot 313 (blanc, 13,70 $)
Source : La Presse

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L'huile de palme, encore moins verte qu’elle ne le prétend

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L'exportation massive d'huile de palme vers les pays riches est blâmée depuis des années parce qu'elle accroît la déforestation et réduit les habitats d'espèces menacées, comme l'orang-outan ou le rhinocéros. Or, comme si ça ne suffisait pas, voici que son usage comme carburant « vert » contribue à... accroître les émissions de gaz à effet de serre.

C'est qu'à présent, plus du tiers de l'huile de palme importée en Europe serait transformée en carburant — que ce soit comme biocarburant ou pour réduire l'empreinte écologique des carburants conventionnels. Une transition qui, selon un reportage du New Scientist, aurait contribué à tripler les émissions de gaz à effet de serre, lorsqu'on prend en compte l'extraction de cette huile, son transport depuis les Tropiques et sa transformation. Une pratique qui, de plus, est subventionnée par l'Union européenne. « Autrement dit, les contribuables paient pour détruire les forêts humides et accélérer les changements climatiques. »

Connue surtout pour apporter sa texture au Nutella, elle est bien davantage : c'est l'huile la plus utilisée dans le monde, devant l'huile de soja.

Un seul palmier peut en produire 40 kg par jour pendant 30 ans. La surface nécessaire pour sa production serait donc un immense avantage... si la demande n'avait pas quadruplé depuis les années 1990 (de 15 millions de tonnes à 65 millions l'an dernier).

Il existe certes une « certification » pour de l'huile de palme produite de façon plus durable et respectueuse des droits des travailleurs, mais à en croire une étude parue en décembre dernier, 99 % de ce qui reste des forêts humides de l'Indonésie se trouverait dans des régions échappant au contrôle des producteurs « certifiés ».

Le 9e Bal sucré au profit du Musée McCord

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Le vendredi 4 mai au soir se déroulait le 9e Bal sucré au profit du Musée McCord à Arsenal art contemporain à Montréal. Notre photographe était présent pour immortaliser des styles de soirée chics!

Le Bal Sucré est une soirée-bénéfice au profit du Musée McCord, où tous les profits de l'événement sont versés à sa Fondation afin de subventionner les visites scolaires à tarif réduit au Musée. Ce programme permet à 10 000 écoliers du primaire et secondaire de découvrir les collections du Musée McCord et d'apprendre à mieux connaître notre histoire, nos gens et nos communautés.

Déjà à sa 9e édition, cet événement est devenu l'un des plus courus de Montréal. Chaque année, plus de 1 000 jeunes professionnels âgés de 25 à 40 ans s'y donnent rendez-vous afin de partager leur passion pour l'histoire et la culture de Montréal.

Se reconnecter à ses rêves

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Est-ce que vous vous rappelez de ce que vous rêviez de devenir lorsque vous étiez enfants? À quel point, à ce moment-là, tout vous paraissait possible.

Et puis, vous avez pris quelques centimètres et les discours des grands ont fini par avoir raison de votre foi aveugle en un avenir prometteur.

On vous a alors demandé de devenir réaliste, raisonnable... On vous a aussi demandé d'arrêter de rêver et de revenir sur terre.

Revenir sur terre

Revenir sur terre... Il n'y a rien de plus démotivant et dénigrant que de se faire dire de revenir sur terre. Cette phrase porte un jugement sur notre capacité à discerner la réalité de la fiction. La plupart du temps, elle va même jusqu'à insinuer un certain manque d'intelligence. Du moins, c'est ainsi que ça peut être perçu par celui ou celle qui la reçoit.

Mais qu'est-ce que revenir sur terre exactement? Pour la personne qui désire être ou faire quelque chose qui sort un peu de l'ordinaire, est-ce une invitation à se fermer complètement à tout ce qui fait écho avec ce qu'elle est en réalité? Ou à étouffer ce qui vibre très fort au fond d'elle?

Je me rappelle à quel point ma mère détestait mon côté très créatif. Pour elle, c'était là le signe évident de certains troubles mentaux, tant et si bien que j'en suis venue à penser que je n'étais pas normale.

Pour elle, c'était là le signe évident de certains troubles mentaux, tant et si bien que j'en suis venue à penser que je n'étais pas normale.

Toutefois, je n'arrivais pas à avaler l'idée que ce qui me faisait tant de bien pouvait être quelque chose de mal. Pour moi, ça n'avait tout simplement pas de sens.

S'éloigner de sa véritable nature

Je ne suis pas le seul enfant qui a dû mettre de côté sa véritable nature pour arriver à plaire, être accepté et aimé par ceux qui, en principe, étaient mandatés pour prendre soin de lui.

Nous sommes plusieurs à avoir dû modifier notre personnalité ou modérer nos élans par solidarité pour la famille ou pour tout simplement pouvoir continuer à faire partie du clan.

Quand on y pense, comme c'est cruel de penser qu'on en vient à empêcher une jeune personne à s'épanouir, peu importe les raisons qu'on pourrait évoquer. Pour ma part, un enfant devrait toujours être amené à s'exprimer sans réserve afin qu'il puisse entièrement faire l'expérience de qui il est, car c'est en se connaissant davantage qu'il en viendra à faire de meilleurs choix pour lui.

Rêver à nouveau

Si nous sommes de ceux et celles qui ont dû abandonner leur rêve pour arriver à prendre la forme du moule, sachons que peu de choses dans la vie ne peuvent être corrigées ou réparées, suffit qu'on ait la motivation et la détermination nécessaires.

Nous ne pouvons pas éternellement nous cacher derrière des parents qui n'ont pas bien rempli leur rôle ou blâmer notre manque d'éducation pour nous donner la bonne conscience de rester là à ne rien faire, à nous plaindre ou à nous sentir désolés pour ce qui n'est pas arrivé et n'arrivera jamais.

Certes, les choses ne pourront jamais être tout à fait identiques à ce que nous avions imaginé à l'époque, mais nous avons encore la chance de faire en sorte de devenir cette personne qui sommeille en nous depuis toujours. Suffit tout simplement de le vouloir et, très important, de faire ce qu'il faut pour que ça arrive.

Pour vous aider dans votre cheminement vers une vie plus harmonieuse, procurez-vous les carnets de la Collection bouée de secours (version numérique en promotion pour un temps limité) en visitant jackiebhamilton.com et aimez la page Facebook

Petite chronique cubaine (deuxième partie)

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Stationnement de tricycles taxis. Les citadins de la Havane ont rarement un bout de terrain sécuritaire pour stationner leur engin. Les stationnements de l’état pallient à ce problème.

Stationnement de tricycles à La Havane

Un peu partout dans le sud de la planète, on retrouve le tricycle taxi, carburant à l'énergie humaine. Les opérateurs décharnés aux allures anémiques sollicitent les clients potentiels aux inclinaisons coloniales au coin des rues ou en pédalant mollement. Le vol du tricycle serait un drame important pour le propriétaire.

Wilmert, gardien d'un stationnement de tricycles taxis dans Centro Havana, se voit rémunérer mensuellement d'un gros 225 pesos cubains (monnaie cubaine pour les Cubains servant à confondre le touriste béat) ce qui correspond à environ 9$ CUC (monnaie touristique indispensable à la confusion des touristes). Avec un tel salaire, malgré l'aide mensuelle gouvernementale pour certains aliments de base, l'objectif de survivre le mois suivant est ardu, même pour un célibataire anorexique. Wilmert échappe à l'indigence extrême et à l'anorexie avec les pourboires qu'il reçoit des propriétaires de tricycles qui, eux, en reçoivent des touristes qu'ils baladent.

Wilmert, responsable d'un stationnement pour les tricycles taxis. Non, il ne pleure pas, il rit d'une bonne farce!

Les défis familiaux des Rodriguez

Les femmes-socles existent. Olivia-mère, 54 ans, est l'âme du foyer. Ce n'est pas une simple éructation paternaliste des années 60-70 que j'exprime, mais bien un fait pesant et indéniable. Sans Olivia-mère, la famille Rodriguez ne serait qu'une épave à la dérive rejoignant le grand vide sidéral des athées. Mes excuses auprès des cœurs sensibles pour ces précisions et celles à venir.

Sa fille portant le même prénom, reste en retrait, les yeux hagards des abus d'une vie pénible. Enceinte à 17 ans, sa petite fille de trois ans vit à Guantanamo sous la responsabilité de son ex, au grand désespoir d'Olivia-fille.

Olivia-mère dans son grand douze pieds par douze pieds, mais avec un deuxième étage de même dimension. Elle termine le lavage de sa vaisselle.

Olivia-fille assise dans le salon familial.

L'édifice appartements de la famille Rodriguez.

Le mari d'Olivia-mère, Wilson, queue-de-veau, regard éthylique, de 11 ans son cadet, essaie en dilettante de contribuer à l'essor de la famille. Vendeur ambulant illégal de chapelure de pain (eh oui!), il travaille en discontinu entre le jeu du chat et de la souris avec des policiers désœuvrés du quartier, la saisie de son chariot de chapelure, du produit des ventes, le tout agrémenté habituellement d'une amende sucrée et d'un court séjour au poste de police.

Wilson dans l'embrasure de la porte principale (et la seule) de  son appartement. À la main, un sac de chapelure de pain,  qu'il vend illégalement parce qu'il ne parvient pas à acheter  le permis de vendeur itinérant.

Extrait de l'entrevue d'Alicia-mère

— Est-ce la première fois que vous parlez comme ça avec un étranger comme moi?

— Oui. Les étrangers ont peur de nous. Ils pensent que nous allons les voler, les attaquer... Ils ont peur... Et nous, on a peur des étrangers! On a peur qu'ils nous jugent parce qu'on est pauvre... nos vêtements... et qu'on ait des problèmes avec les autorités si on leur parle... (soupir) La majorité de nous, on n'est pas méchant... Jamais un étranger n'était entré dans notre appartement, notre édifice, jamais... On a peur, ils ont peur... C'est pas bien.

Olivia-mère fait le ménage dans un édifice abritant un organisme gouvernemental. En plus, tous les matins avant d'aller travailler, elle vend chez elle des gorgées de café et des cigarettes à l'unité. Le midi, elle réchauffe la nourriture préparée la veille au soir, après son travail, pour l'offrir pour quelques pesos à des Jos Bleau cubains de passage. Les quelques restaurants du coin sont souvent beaucoup trop chers pour le Cubain moyen. L'après-midi, Olivia-mère retourne gaiement à son travail, pour un salaire d'environ 7 $ CUC par mois (équivalent approximatif du dollar états-unien) qui l'oblige à cette hyperactivité, malgré son diabète et ses problèmes cardiaques, pour maintenir sa famille à flot. Je vous l'ai dit, les femmes-socles existent et il y en a à Cuba!

Une sortie au musée nu comme un ver, c'est possible

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Des adeptes du naturisme ont pu bénéficier d'une sortie inédite samedi, alors que le Palais de Tokyo, à Paris, s'est ouvert pour présenter l'exposition Discorde, fille de nuit à ce public particulier.

Malgré que 27 000 personnes se soient montrées intéressées à l'événement sur Facebook, ce sont 161 courageux qui ont marché sur le béton froid du musée pour tenter l'expérience, indique LCI. Il s'agissait du premier événement du genre à Paris et en France en général.

Un journaliste du journal Le Monde, qui a participé à l'événement, raconte que les corps «se repoussent comme un ballet d'atomes. Dénudés, on hésite à se frôler. A part sans doute Antoine et Mia, beaux comme des carrosses, naviguant à droite à gauche, rebelles à la visite guidée, amoureux caressant de leurs corps, narcisses libérés, œuvres d'art pour eux-mêmes».

Et vous, seriez-vous prêts à contempler les merveilles du monde en tenue d'Adam?

5 choses que les non-buveurs souhaitent que les buveurs comprennent

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Les règles de la consommation d'alcool sont bien établies, mais la façon de se comporter avec des non-buveurs est rarement discutée.

Les non-buveurs veulent être entendus. Le HuffPost américain a demandé à ses lecteurs ce qu'ils voulaient que les autres sachent à leur sujet. Voici ce qu'ils avaient à dire.

1. Séparer la facture est rarement équitable pour ceux qui ne boivent pas

Les boissons alcoolisées peuvent rapidement constituer une bonne partie de la facture. Qui n'a jamais été dans un grand groupe et quand la facture est arrivée, quelqu'un a suggéré de simplement la diviser.

Peu de gens sont à l'aise d'être les seuls à lever la main pour protester.

«Je me sens extrêmement mal à l'aise et je trouve injuste de devoir payer cette part de la facture», a déclaré Leila Mostafavi.

2. Les non-consommateurs ont aussi besoin de soutien

Beaucoup de personnes sobres ou qui participent au mois sans alcool ne désirent pas devenir une curiosité. Un peu de sensibilité serait bien, ont-ils dit.

Diane Williams McMullen, qui a été sobre pendant plus de 32 ans, a expliqué qu'elle ne devrait pas avoir à expliquer pourquoi elle ne boit pas. Lorsqu'elle est pressée, elle essaie d'utiliser l'humour et dit qu'elle est «allergique à l'alcool».

Selon une étude réalisée en 2014 à l'Université d'État de Caroline du Nord, les non-buveurs estimaient qu'ils devaient utiliser différentes stratégies pour participer à des événements sociaux sans se sentir gênés.

3. Ils n'aiment pas se faire harceler pour boire

«Les gens qui boivent sont obsédés par les habitudes des non-buveurs. Cela devient l'objet de plusieurs conversations», a déclaré Reem Baroody, une lectrice.

Eh oui, une pression est exercée sur les non-buveurs pour qu'ils consomment.

Julie Wallach, sobre depuis 30 ans, a raconté qu'elle ne compte plus les fois où les gens lui ont dit de prendre un verre, qu'elle était sobre depuis assez longtemps. «C'est vrai ... Mais quand je bois, je deviens violente et je pleure de façon incontrôlable. Crois-moi, tu ne veux pas que je boive.»

4. Les non-buveurs ne sont pas là pour prendre soin de vous

Les buveurs ne devraient pas assumer que la responsabilité de leur sécurité en état d'ébriété incombe à leur ami sobre.

Janet Paul Eiser a déclaré que ceux qui ne boivent pas sont souvent traités comme des gardiens. Et plusieurs lecteurs ont mentionné que, bien qu'ils soient heureux d'être le conducteur désigné, ils sont moins heureux d'attendre que la soirée se termine au petit matin pour jouer au chauffeur de taxi.

5. Les non-buveurs ont besoin d'alternatives plus attrayantes à l'alcool dans les restaurants et les fêtes

Plusieurs lecteurs ont insisté sur le fait que les restaurants devraient offrir des options sans alcool outre des boissons gazeuses, du thé glacé, du café ou de l'eau.

Annelies de Bruijn a été à des soupers chez des amis où on lui a offert seulement des options alcoolisées. «Je me suis retrouvé avec de l'eau du robinet et un hôte confus», a-t-elle raconté.

Mais au moins, elle est toujours invitée à des fêtes.

«Je sais que je suis exclue de certaines fêtes parce que je ne bois pas et d'une certaine manière cela rend les autres mal à l'aise», a déclaré Lori Turner.

Ce texte initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l'anglais.


Quatre attractions à ne pas manquer à Walt Disney World cet été

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L'été est synonyme de plaisirs en famille. Que nous soyons petits ou grands, nous attendons son arrivée avec fébrilité. Nous imaginons déjà les formidables aventures qui nous attendent, ainsi que les souvenirs et les photos qui en témoigneront! Alors pourquoi ne pas planifier ces activités dès maintenant? Avec sa vaste gamme d'attractions familiales inédites et saisonnières, le Walt Disney World Resort en Floride vous réserve un été incroyable.

Les solutions de Kate Hudson aux nausées matinales

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Les diètes et les aliments miracles n’existent pas

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Faire une diète amaigrissante, supprimer des aliments ou surconsommer certains nutriments ne peut garantir la santé ou une perte de poids à long terme. À moins d'avoir un plan de traitement nutritionnel déterminé par un médecin ou un diététiste-nutritionniste pour traiter une maladie, il est conseillé de manger une grande variété d'aliments peu transformés et en quantité modérée.

Ni bons ni méchants

On demande souvent aux nutritionnistes de trancher et de dire si tel aliment est bon ou mauvais, s'il faut faire des jeûnes, supprimer le gluten, le lait, la viande ou le sucre, ou encore si la diète cétogène guérit le diabète, etc. La plupart du temps, la réponse à ce genre de questions est «non». La réalité est qu'aucun aliment et aucun nutriment n'est bon ou mauvais (sauf en cas d'allergie ou d'intolérance), car à eux seuls, ils ne peuvent définir la santé ou la maladie. Cette façon dichotomique de classer les aliments avec d'un côté les «gentils autorisés» et de l'autre les «méchants interdits» peut entraîner des carences en nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l'organisme et le développement de troubles du comportement alimentaire. L'organisme tire des aliments l'énergie, les matériaux de structure et les composés de régulation dont il a besoin. Les aliments remplissent diverses fonctions et leur qualité ne se résume pas à la somme ou à la soustraction de leurs nutriments.

Privations et détox inutiles

Les diètes populaires sont généralement inefficaces et plus elles sont restrictives, plus elles peuvent être dommageables. Les pertes de poids obtenues s'expliquent surtout par une perte d'eau et une perte musculaire, plutôt que par une perte de graisse. 85% à 95% des gens qui suivent une diète reprennent leur poids dans les deux ans qui suivent, et atteignent parfois un poids plus élevé qu'à la case départ. Par ailleurs, plusieurs problèmes physiques peuvent apparaître à la suite des apports insuffisants en protéines, lipides et même en calorie, à des carences en vitamines ou minéraux, à un déséquilibre électrolytique. Ceci sans compter les risques pour la santé psychologique : perte de contact avec les signes de faim et de satiété, développement d'une relation malsaine avec la nourriture et avec le corps, sentiment d'échec et de culpabilité, diminution de l'estime de soi et préoccupation excessive à l'égard du poids.

Nul besoin de détoxifier ou de purifier l'organisme, car le corps humain est en quelque sorte «autonettoyant».

Un autre mythe tenace est la nécessité de pratiquer le jeûne. Nul besoin de détoxifier ou de purifier l'organisme, car le corps humain est en quelque sorte «autonettoyant». Les organes comme le foie et les reins éliminent les déchets sans l'aide d'un jeûne ou d'un produit nettoyant qui eux peuvent avoir des conséquences néfastes.

Reconnaître les fausses allégations

Dans tous les domaines en général et en nutrition en particulier, Internet est une immense source d'informations, mais aussi un grand diffuseur de fausses allégations qui peuvent mettre la santé du public en péril. De nombreuses personnes induisent le public en erreur en s'improvisant spécialistes en alimentation, coachs en nutrition ou guérisseurs. Ils invoquent de la pseudoscience et proposent toutes sortes de produits et de recettes pour guérir ou maigrir. Bien souvent, ces gourous et ces charlatans exploitent les craintes et les angoisses des consommateurs à l'égard de l'alimentation. Il est alors très difficile pour les gens de faire la différence entre les affirmations sensationnalistes non fondées et les informations justes.

La science comme seul guide

La nutrition est une science basée sur des données scientifiques et celles-ci évoluent au fil des découvertes. Grâce à leur formation initiale et à une mise à jour régulière de leurs connaissances, les diététistes-nutritionnistes peuvent intégrer les nouvelles données scientifiques. Lorsqu'ils font une recommandation, ils ne s'appuient pas sur des expériences personnelles ou des témoignages de clients. En consultation, les diététistes-nutritionnistes n'abordent pas tout le monde de la même façon, chaque cas est traité individuellement et chaque évaluation nutritionnelle est établie en tenant compte de différents facteurs comme les mesures anthropométriques, les analyses de laboratoire, les médicaments, les habitudes alimentaires, les aspects éthiques et culturels, ainsi que le bagage psychosocial du patient.

Ce qu'il faut retenir en bout de piste est que les solutions faciles et les promesses de résultats fonctionnent rarement. Quand on souhaite faire des changements pour des résultats tangibles, il est recommandé de modifier progressivement et durablement ses habitudes alimentaires et de cultiver le plaisir de manger.

Un bouquet pour la fête des mères... de Timbits

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Classique un bouquet de fleurs pour la fête des Mères?

Moins classique, voire carrément original, Tim Hortons propose un bouquet de 24 Timbits présentés sur de longues tiges, puis emballés dans du papier de soie fixé en place par un ruban, le tout prêt à être présenté à maman dans une boîte-cadeau à fleurs pour la fête des Mères.

Dans trois grandes villes canadiennes - Montréal, Toronto et Calgary - vous pouvez suggérer le nom d'une maman en affichant pourquoi elle mérite de recevoir son propre bouquet Timbits sur Twitter ou Instagram à l'aide du mot-clic #BouquetTimbits du 7 au 10 mai.

Le bouquet Timbits est offert au coût de 12,99 $ sans les taxes aux restaurants Tim Hortons participants seulement, les samedi 12 mai et dimanche 13 mai, à compter de 8 h chaque jour.

Les quantités sont très limitées. Environ dix bouquets seront offerts par restaurant, par jour.

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